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Mercredi 26 juillet 3 26 /07 /Juil 10:52

Ils ‘sinstallèrent de l’autre coté, Laurence en face de moi, sur une serviette pour ne pas avoir froid aux fesses, Claude en face de son épouse. 

  

Le cocu nous avait rejoint en bout de table. Nous re-trinquâmes, tous les cinq cette fois, au Champagne, sauf le cocu à l’eau.

 

J’avais la main sur la cuisse de Claire, alors que Laurence en face de moi avait décroisé sa jambe, pour la poser sur celle de Claude, montrant ainsi sa chatte. 

  

Ils étaient assez a l’aise, Claude jouait finalement assez bien la situation avec le cocu, sans plus, et je voulais que dès cete soirée ils connaissant aussi nos activités, notamment urologiques, et les inciter éventuellement a ne pas être qu’observateurs passifs notamment devant le travail de soumission et infantilisation d’Alain (pour l’aspect cocufication c’était réglé).

   

- « Laurence, le cocu et moi aimons l’uro et sommes de praticiens. Nous sommes tous les trois actifs, passifs, buveurs receveurs … cette pratique peut choquer, dans ce cas nous ne nous exhibons pas devant les personnes ne désirant pas pratiquer.  Par contre on peut procéder graduellement, si vous souhaitez, pour vous permettre de vous sentir et  vous définir par rapport au sujet.  Je propose par exemple que Laurence, dès qu’elle en aura envie nous fasse un petit pipi public à sa manière … voire plus … pour agrémenter le diner . Qu’en pensez-vous … ? »

   

Claire eut un léger éclat de rire.

 

-« mais cela ne me gêne pas » . Son regard appuyé, insistant presque, me fit penser qu’elle trépignait d’aller plus loin dans le jeu, qu’elle trépignait qu’on l’aide -ou les aide Claude et elle- à tenter, à se laisser aller. Ma main serra sa cuisse plus fort. Elle l’ouvrit, je remontai vers sa chatte.

   

  

En la regardant fixement je poursuivis, avec des terme volontairement plus crus :

 

- « la pétasse, son cocu et moi-même souhaitons votre plaisir à vous deux, ne nous retiendrons pas de nous-mêmes désormais pour vous débaucher. De votre côté vous avez loisir d’orienter voir de refuser nos actes et nos propositions et … » 

Claire m’interrompit, d’une voix douce mais ferme : 

   

-  « ne vous tracassez pas pour nous, nous avons compris que vous étiez libertins et dépravés. E…é …  éduquez nous,  … et si par instant moi ou mon mari semblons hésitants, n’hésitez pas à nous forcer la main. »  lachâ-t-elle, comme si elle se libérait. Le message était définitivement clair.

 

  

Une nouvelle étape, psychologique au moins, venait d’être franchie. J’en profitai pour mettre en pratique ce qu’elle venait de dire d’une part, et pour régler un léger contentieux avec le cocu d’autre part , je m’adressai a celui-ci :

 

- « pourquoi ne te masturbais-tu pas tout a l’heure, quand tu te faisais cocufier contre le portail ?»

  

 

 

Le cocu fut pris au dépourvu de ma question, se sentit pris en défaut.

« je… je … pensais qu’il était trop tôt que cela pouvait peut-être choquer nos hotes » bredouilla-t-il , sincère mais tout penaud. Mon regard lui fit comprendre qu’il fallait qu’il se taise. 

  

   

- « en tout cas cela m’a fait imaginer une punition pour toi. Punition dans un premier temps, mais je pense que cela va être une pratique que tu vas inaugurer dès demain : tu te procureras un cahier d’écolier, et tu feras des lignes comme les cancres. A l’avenir tu feras des lignes, soit suite à l’ordre de moi-même, ta femme ou nimporte qui d’autre, soit de ta propre initiative lorsque tu as le temps  et l’envie de montrer à quel point tu apprécies cette vie de lavette cocue que tu mènes depuis plusieurs semaines.  Il y aura aussi deux types de séries de lignes : « les imposées » dont le contenu sera décidé par le commanditaire, et les « libres » ou tu auras liberté du contenu et d’exprimer tes pensées intimes, tes envies de cocu. Pour la première, et pour demain soir  tu copieras 50 fois :  ‘Quand on me cocufie devant moi, je n’ai pas peur de me branler’ . Maintenant sers-nous le diner. »

 

 

Il se leva partit presque en courant et nous quatre trinquâmes en riant. Sous la table la salope tendait sa deuxième jambe en essayant d’atteindre mon sexe à travers mon short, avec son pied. Je la laissai faire et tout en buvant le champagne je demandais à Claire de dévoiler ses seins. Elle posa son verre, et simultanément des deux mains sortit ses deux seins blancs, épanouis. Ils étaient déjà durs. Claude son mari regardait sa femme, tout en ayant la main qui se baladait sur Laurence,  de la chatte au pied en passant par la jambe qui était posée sur lui. Je me mis à bander fort devant cette scène à quatre torride. Je roulai une pelle à Claire en commencant à lui tirer un sein puis le téton qui va avec. Elle se donnait. Elle s’habituait vite à s’exhiber. J’avais même l’impression que je pourrais la prendre là sur la table, devant son mari et la pétasse. Mais je préférais une progression graduelle.

 

 

Le cocu revint de l’intérieur avec une salade aux lardons qu’il nous avait préparé. Nous ne nous occupions pas de lui, et il nous servit tous les quatre  avec délicatesse pour ne pas nous déranger. Alors qu’il effectuait ses étapes autour de la table  auprès de chacune de nos assiettes, sa pute avait délicatement sorti la queue de Claude, et le branlait sur toute sa longueur à un rythme lent, toujours en me massant la queue avec sa jambe sous la table. Pour pimenter la situation elle eut la bonne idée de lancer un petit mot à son mari :

 

- « chéri, sers …, sers nous un peu de ton bon vin quand tu auras fini avec la salade»,  sans le regarder et sans arreter sa double activité masturbatoire. Au contraire, elle se pencha du coté extérieur et commenca à se caresser avec sa main libre.

 

  

- «  Oh mon dieu, que c’est excitant cette situation à quatre …Carmure tu ne voudrais pas sortir ta queue s’il te plait tu vas craquer ton short. » 

 

  

Ma main serrait les deux seins de Claire, qui se laissait complètement faire, raidie sur le banc, mon autre main ayant investi sa chatte… Je ne pus répondre à Laurence, qui de toute façon commençait à tout secouer et à gémir. La double masturbation manuelle était devenue triple grâce à son pied sur moi. Claude lui empoigna aussi fermement les seins ; elle gueula littéralement  « vas-y … allez-y … avec les mains ….  vos queues .. svp … ohhh  ca y est je pars » . Le rythme de sa triple branlette était effréné, son genou secouait la table heureusement très lourde.

 

 

 

 

 

Je vis le regard de la pétasse chercher celui de son cocu, lequel faisait comme si de rien nétait et reposait la bouteille après nous avoir servi ! scène incroyable. 

   

Suite à ma remarque de tout à l’heure , il ne dit rien, s’assis à nouveau en bout de table, et se masturba devant cette scène d’apologie. Il avait une trique phénoménale. Je vis alors les yeux de Laurence se révulser comme à chauqe fois qu’elle allais jouir. A nouveau un gémissement rauque :

 

- «  je jouis .....  cocu ...  je jouiiiis ... »

 

 

Elle s’adressait a son mari, tout en se branlant, en branlant Claude et en me besognant avec son pied. Excusez du peu. Son orgasme fut violent , pendant une seconde on aurait dit une épileptique, puis  elle lacha prise de la queue de Claude et son pied quitta mon short pour permettre a sa jambe de se replier sous la table.  Elle reprit ses esprits, quelque secondes, soupira fortement, savoura en fermant les yeux. Puis elle dit, s’adressant a son cocu :

 

- « chéri, j’ai envie qu’ils me prennent tous les deux … qu’en penses-tu ? » Elle se mit a rire, se leva , se tourna de dos et nous offrit la vue de son cul.

  

J’intervins.

  

-« Laurence chérie. Mangeons un peu. Nous avons le temps. »

   

La salade aux lardons fut l’occasion de nous remettre d’aplomb. Nous n’échangeames pas beaucoup, tous imbibés encore d’excitation, et l’esprit rêvassant sur ce que nous réserverait encore la soirée.

   

Je leur parlai tout de même encore un peu de nous trois.

   

-« J’ai connu Laurence et celui qui lui sert de cocu aujourd’hui il y a quelques mois. Au début il s’agissait plûtot de la transformer en salope avec lui, l’aspect cocufication s’est qu’improvisé au fil de nos aventures, assez rapidement. Aujourd’hui le cocu souhaite aussi être humilié, ridiculisé. Il n’a pas le droit de faire l’amour avec Laurence depuis qu’on est ici, encore moins avec une autre femme cela va sans dire. LA nuit il dort seul, pendant que je m’occupe de sa femme. Enfin il a des prédispositions a la bisexualité, il suce et est même allé plus loin : étant  moi-même légèrement bisexuel actif, ce cocu a déjà eu le bonheur que je me déverse dans sa bouche. Il a pris cela comme une récompense. Je crois qu’il en acceptera plus. J’ai des idées qui mûrissent pour lui donner la possiblité d’être un bisexuel abouti a terme. Cela excite aussi sa pute qu’est Laurence. Mais attention, ils s’aiment tous les deux. » 

  

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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