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Lundi 6 novembre 1 06 /11 /Nov 17:29

Je fut en fait nerveux cette nuit là, mon esprit fertile en pensées sur l'avenir de l'aventure avec Claire et Claude notamment, et plus précisément sur le rencontre que je leur avais programmée dès l'aube dans leur lit.

 

J'étais tout excité et, fort de la tournure des évènements des dernières heures et des remarques de Claire me donnant finalement carte blanche sur eux - bien qu'elle fût relativement passive elle et (encore) dépourvue d'initiative- j'en déduis grosso modo cette nuit-là que je pouvais passer la vitesse supérieure. Ils attendaient cela et l'espéraient, cela avait été explicite, mais ils étaient encore probablement eux-mêmes trop novices en la matière. Notre séjour dans le gîte ne se terminant que dans à peine plus de 2 jours désormais, c'était une raison de plus pour les emmener rapidement maintenant sexuellement là où ils voulaient et les dépraver réellement sans retenue.

 

Quand je me réveillai, assez tôt,  Laurence était aussi éveillée. J'étais sur le dos, elle se blottit contre moi, commenca à empoigner ma queue et la masturber, et me regarda langoureusement. Ce à quoi je répondis :

 

-" Tu sais bien que j'ai prévu d'aller chez Claire et Claude, chérie. Et je ne vais pas tarder, je crois qu'elle doit aller travailler a Aubusson. J'ai pensé quasi tout la nuit à la manière dont j'allais les "gater" et les diriger vers la fornication, et l'uro aussi; car je trouve qu'il est temps de se lâcher complètement."

Puis je rajoutai, revenant à son cas a elle et celui de son cocu, prenant bien soin d'être direct et de donner un effet de surprise :

 

-"Devant la dévotion de ton mari à être cocufié, et attentif à ses réactions et ses attitudes, j'ai déduit - en tout cas je me suis autorisé à le faire ! - qu'il prendrait comme une "promotion" d'être un jour sodomisé. Hier soir alors qu'il me suçait pendant que j'écrivais mon journal, je lui ai donc annoncé que je penserais à son cas dès la fin de l'été sur Paris, car d'anciennes connaissances de couples bisexuels seraient probablement intéressées à l'idée qu'on leur prépare une soirée avec une salope, son cocu-soumis et possibilité de dépucelage dudit cocu en présence d'une assistance publique par exemple . Je t'en informe. Je crois que ton mari pour sa part a apprécié et va pouvoir "grandir" à cette idée. Quant a toi je sais que cela va te plaire. Je me trompe ? "

 

Elle ne répondit pas  immédiatement mais me branla plus conscienscieusement tout en cherchant ce qu'elle allait me répondre. Elle finit par dire comme à elle-même, avec une certaine émotion dans la voix :

-"Je ne vois pas comment il peut en être autrement si c'est ce que tu désires... Ce que tu veux faire de nous c'est toi qui l'écris, depuis le début, tu le sais bien, et tu sais que nous accepterons tout pour le moins, et nous serons très impatients et demandeurs pour le mieux. Ne l'avons toujours pas été, mon cocu et moi ? "

 

Elle avait presque peur que je réponde non, et que j'aie des reproches à leur égard. Elle continua:

  

-" ... j' y ai déja réfléchi plusieurs fois et je n'ai rien trouvé que tu puisses me demander, ou demander à Alain,  que l'on refuserait et aurait même l'envie de refuser ... je n'arrête pas de déduire que notre couple, Alain , et moi-même nous .. t'appartenons. ... Tu le sais. Tu peux en jouer comme tu désires, et c'est ce que je désire aussi : que tu joues et baises avec moi, avec nous, que tu organises des cocufications, ma ... ma salopisation ..."

 

Je l'interrompis:

-"Nous reprendrons cette discussion plus tard ma chérie. Mais ne crains rien, notre relation j'y tiens et votre couple reste central. C'est pour cela que pendant que je serai a côté, tu va passer une partie de la matinée avec ton mari. C'est nécessaire après ces jours intenses surtout pour lui. Faites le point, faites l'amour, confiez-vous l'un à l'autre, échangez."

 

Et je me levai pour enfiler calecon, T-shirt, et  espadrilles. et je n'oubliai pas d'ajouter, me souvenant de la remarque de Laurence, la veille, lorque j'annoncai à nos voisins que je viendrais les rejoindre à l'aube:

 

- "... Je te prierai simplement de ne pas être jalouse des autres femmes. Car je vais être clair: Malgré la distance géographique entre la région parisienne et ici, j'ai décidé cette nuit que je proposerais dès ce matin à Claire et Claude que Claire ne devienne plus ou moins ma maîtresse ou ma soumise, sous une forme encore à définir, y compris son rôle à lui ... Allez je te laisse, je t'envoie le cocu... Passez un bon moment ... n'oublie pas aussi que tu devras appeler Olivier  aujourd'hui ce serait bien."

 

Je descendis et croisai le cocu en bas qui s'était levé très tôt pour tout ranger de la veille. je le rappelai juste à ses obligations du jour:

-"N'oublie pas tes 50 lignes; tu peux utiliser mon journal perso en commençant par la fin si tu n'a pas de cahier. Mais tu devras reporter tout plus tard sur un cahier personnel. Si jamais le propriétaire décidait de passer, ce qui ne serait pas très étonnant, il est clair que ce serait pour voir ta pute; donc fais le nécessaire pour le mettre à l'aise et le laisser tranquille avec ta femme."

Il me répondit juste

-"oui ... merci...  je vais voir Laurence ... oui  je ferai toutes les lignes ...".

 

Sur le chemin, la perspective qui m'attendait me fit rapidement être très excité. J'avais plusieurs idées en tête, mais je sentais que l'improvisation allait jouer un grand rôle.

 

Claire et Claude avaient pris soin de ne pas locker la porte. Après avoir ouvert celle-ci, je vis par terre un papier avec un mot : "il est 5 heures ...nous somme éveillés, nous vous attendons". Cette attention plus qu'encourageenate était très délicate, car elle me permettait de me faire une idée sur leur état et leur envie: sachant qu'il était environ 7 heures, et que ce mot datait de deux heures, je me permis d'imaginer que s'ils étaient éveillés depuis lors, les conditions d'excitation étaient idéales. J'avançai dans la maison pour parvenir près de la chambre. La porte était entr'ouverte et je regardai discrètement. Ils étaient allongés tous les deux, sous la couverture, éveillés. De coté tous les deux, Claire était dos à son mari Claude, les yeux ouverts et pensive. Lui l'embrassait dans le dos blotti contre elle.

 

Je me déshabillai avant d'ouvrir la porte. J'avais une grosse érection.  Je poussai la porte ni brusquement, ni lentement, comme si j'entrais le plus naturellement du monde. Il ne sursautèrent pas, me régardèrent tout les deux. Claude se décolla de Claire en gardant la main sur son épaule. Puis faisant glisser celle-ci fit le long du bras de Claire, dégagea la couverture délicatement pour faire apparaître la moitié supérieure du corps de son épouse. Claire me regardait sans expression particulière, très posément. Avaient-ils anticipé le scénario ou était-ce improvisé?

 

A cet instant je décidai de ne rien dire. Je m'avancai à coté du lit près de Claire. Je savourais l'instant tout en réfléchissant et essayant d'adapter ce que j'allais faire à la situation.  C'est finalement mon index que je proposai à sa bouche. Elle le goba en le suçant légèrement, lentement, après quelques instants je retirai l'index pour y présenter le majeur, puis ainsi de suite tous les doigts les uns après les autres. Je la fixais du regard, elle me regardait,  perosnne n'avait encore prononcé mot. Claude  avait entrepris de la malaxer légèrement dans une zone qui allait des hanche au seins. Puis au bout de deux longues et délicieuses minutes, alors que je passais toujours en revue mes doigts dans sa bouche, Claire ferma les yeux délicatement en se concentrant énormément sur mon doigt, montrant ainsi son envie. J'étais en érection et je réfléchissait aux premiers mots que j'allais prononcer.

 

-"Suce-moi Claire. Tu en as envie". Je m'appuyai contre le lit et lui présentai ma queue; elle lâcha mes doigts, avanca son visage et enroula ma queue avec sa bouche, tout en fermant les yeux. un léger gémissement me fit comprendre son envie.

 

Claude  la tenait par les hanches. Son sexe était contre les fesses de sa femme qui restait inerte hormis sa bouche sur ma queue. Je me penchai pour à la fois attraper son sein d'une main, sa fesse de l'autre. Je malaxai le premier et écartai la deuxième. Je dis a Claude, quasiment sous forme d'ordre, et le tutoyant lui aussi:

-'prends- la."

 

Il me regarda quelques instants et se mit en position. Claire avait répondu à sa manière à l'injonction que j'avais donné à son mari en levant sa jambe, soulevant ainsi la couverture et permettant l'accès de son cul à son mari.

 

-"ta femme est très bandante, Claude. De plus elle est excitante car elle à l'air sage".

 

Claude changea de position pour mieux prendre sa femme de coté pendant que cell-ci engloutissait ma queue de plus en plus profond dans sa bouche.  Il semblait la désirer puissamment. Il empoigna sa queue, l'approcha de la moule de sa femme, puis tout en ré-'empoignant cette fois-ci par les deux hanches l'enfila puissamment. Sans encombre. Claire était prête. une odeur de fornication -ils avaient à coup sûr baisé dans la nuit- amplifiait l'excitation.

 

Claude se mit littéralement à monter sauvagement sa femme de coté, le besognant et s'acrrocahnt violemment à ses hanches. Il était littérallement accroché et pendu à son cul. Ce qui contrastait avec les mouvement lents mais amples et sûrs de ma queue dans la bouche de Claire. Mes deux mains désormais malaxaient ses seins, j'étais genoux semi-pliés avec la queue explorant la bouche de Claire. Celle-ci n'avait rien de l'exubération de Laurence, gémissant à peine pour l'instant, mais acceptant et désirant nos deux assauts.

 

Je m'adressai à Claude :

- "c'est excitant de découvrir que sa femme est une salope silencieuse, non ? " puis sans attendre de réponse :

 

- "désire-t-elle une double décharge dans la chatte ? ou une dans la bouche l'autre dans la chatte ? "

 

Claude répondit pour elle, vu que la bouche de Claire était pleine :

- "faites lui ce que vous voulez....  Ahhhrgh " il commencait à prendre sérieusement son pied, il y avait à peine 5 minutes qu'on avait commencé. 

Je décidai de rester dans la bouche de Claire en attendant que Claude jouisse, vu que cela était imminent. C'est alors que j'eus droit à une première surprise, Claire lacha ma queue quelques instants pour dire, me regardant fixement cette fois :

-"cela faisait longtemps que tu ne m'avais pas prise aussi vigoureusement trois fois dans la même nuit ..."  Puis Claude ne répondant pas à sa femme, finit de tirer son coup, puis me dit en se dégageant :

 

-"Venez la tirez si vous le désirez?"

 

Je répondis à ceci en m'adressant à Claire penchant la tête vers elle:

- Je m'occuperais bien de votre troisième entrée, de votre oeillet. Si vous n'y voyez pas  d'inconvénient...", la vouvoyant a nouveau.

 

Pour la première fois, elle m'adressa la parole, lachant ma queue :

-" Bien sur qu'il n'y a pas d'inconvénient. C'est un entrée qu'utilise quelquefois mon mari..."

 

Je montai alors sur le lit, me placai derrière elle et levai tout son arrière train des deux mains, la remettant en position de levrette. Je l'incitai avec les mains à ouvrir se fesses,  j'enfouis ma langue dans son anus pour la peindre de salive.

Claude proposa alors:

- "prenez la bien, je vais m'occuper de l'autre face".

 

C'est alors qu'il se fraya un chemin sous elle pour se positionnez en 69. Il vint lui bouffez la chatte. Claire me dit par dessus son épaule

- "s'il vous plait ... ne me faites pas trop attendre ..."

 

Devant cette triple invitation (son cul, son mari, et se dernières paroles) je compris que pour l'instant je laissais le scénario se dérouler en bonne partie selon leurs envies, mais j'y trouvais plus que mon compte. je me positionnai alors au dessus de son cul, tout en voyant le dessus du visage de Claude qui la bouffait. Je l'enculai très doucement y allant par va-et vient progressifs. Une bonne partie de mon poids était sur ses hanches.

c'est alors que verbalement du moins, je repris la main :

" Je crois que vous devez aller travailler ce matin. Je vais vous accompagner à Aubusson Claire, si votre mari le permet bien sûr..." J'irai vous recherchai ce midi. comme nous avons peu de temps, je vais vous remplir les fesses immédiatement"

 

Et je m'appliquai à me finir en elle. C'est vrai que la situation à 7 heures du matin avait quelque chose d'excitant. Je tirai mon coup finalement un peu de la même manière que son mari quelques minutes avant. celui-ci lui bouffait toujours sa chatte en dessous de mes couilles. Ils cachaient bien leur jeu ces deux là.

Je ne laissai pas de répit et les invitai à m'emmener a la salle de bain. Il y avait une douche.

-"Avez-vous envie d'uriner Claire ?" ton cordial mais ferme.

 

-"je crois que oui, nous avons bu de l'eau en prévision de vous hier soir en rentrant."

 

Alors sous la douche, elle dos contre la paroi, je lui fis écarter lesjambes.

-"Laissez-vous allez Claire, s'il vous plait ..."

 

Elle pencha la tête en avant pendant que je me glissai entre ses cuisses, attendant que le jet ne débute. Je lappai son pubis et son clito en attendant, puis le jet arriva accompagné d'un gémissement qui me fis plaisir. J'entendis Claude derrière, nous dire :

-"Je peut vous faire pipi dessus tout les deux, cela m'excite votre truc ... "

 

Personne ne répondistrien, ce qu'il considéra à juste titre pour un acquiescement. Le jet de Claire n'était pas très puissant par contre sa pisse était très forte, je ne pouvais que la prendre dans ma bouche mais en la recrachant sans l'avaler. Cela ne dura pas très longtemps, je me relevai au moment même ou Claude avait approcher sa queue au niveau de ma figure et de la chatte de sa femme et commenca a pisser lui aussi.

J'ordonnai alors à Claire:

-"Agenouillez-vous Claire, c'est pour votre bénédiction. " J'empoignai alors aussi ma queue et commencai à lui pisser sur le visage. Son mari faisait de même.

Je profitai de cet instant crucial pour m'adressai à Claude:

-"Dans deux jours, le cocu la salope et moi-même nous quittons les lieux.  Mais je ne souhaite pas que notre histoire à nous s'arrête là. Je tiens a donner une suite à notre rencontre, et votre femme peut devenir ma maîtresse au moins de principe, même si nous ne pourrons pas nous rencontrer facilement dans un premeir temps du moins. Il est évident que la salope du cocu sera de son coté d'accord pour la même chose avec vous. Réfléchissez à ceci... ...Je sais, la géographie est contre nous, mais avec de l'imagination tout est possible, et encore plus excitant".

 

Le visage de Claire avait été arrosé de pisse pendant ce temps! elle avait tout de même ouvert la bouche, mais n'avait rien avalé. Cette scène d'uro avait finalement été soft, sans plus mais appéciée.

J'entrepris alors d'allumer la pomme de douche, d'attendre que l'eau soit chaude et de nous rincer tout les trois. Bizaremment il n'y eu pas de mots d'échangés si ce n'est que je proposai que l'on prenne un bon déjeuner avant que j'emmène Claire à Aubusson.

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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