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Vendredi 7 octobre 5 07 /10 /Oct 00:00

Nous nous sommes installés pour déjeuner.

 

-"Va te faire sauter par Claude en premier, même si le proprio arrivait lorsque tu es la-bas, nous le ferions t'attendre. dans l'autre sens, il y aurait risque d'attendre le proprio jusqu'en fin de matinée et que l'on rate Claude par la suite. de plus on est pas certains à 100% qu'il viendra ..."

 

."...ce serait bien que tu ailles avec le cocu, il faut qu'il te voie désormais vraiment te faire baiser par d'autres que moi. Or, jusqu'à maintenant, il t'a juste vu chauffer le proprio hier et le serveur d' Aubusson. Il faut que tu passes la vitesse supérieure. N'oublie pas que ton mari avance à grand pas dans le bonheur d'être humilié. Il a droit à  être présent lorsque tu le cocufies...même si cela complique le scénario pour toi ..."

 

-"pas de soucis, mais est-ce que le gars en face sera prêt  à s'occuper de moi, en présence du cocu, même s'il sait avec tout notre cinéma d'hier, à peu près quels rôles chacun de nous jouent ?"

 

-"je te fais confiance pour faire péter tous ces verrous à supposer qu'ils existent encore. Je t'ai déja montré à St valéry ou même Aubusson, qu'avec de la conviction, de l'envie et du toupet, et surtout ton cul, il n'y avait de problèmes que dans la tête des gens et surtout que temporaires. De plus avec notre cinéma, je pense que Claude est mûr; sa femme aussi d'ailleurs ! Tu es une salope et tu vas aller avec ton mari. c'est ta mission"

 

-"OK, tu as raison mon chéri, je vais emmener le cocu ..."

 

Nous avons fini de déjeuner. La perspective de la matinée qu'allait passer Laurence m'excitait. Je lui fis savoir en me levant et en venant lui malaxer les seins par derrière pendant qu'elle finissait son café. 

 

-"Annonce à ton mari le programme, salope..."

 

Laurence finit sa tasse, et en se retournant à peine, énonça à voix haute :

 

-"petit cocu, tiens-toi prêt mon toutou, tu vas venir avec moi voir Claude..."   (il n'y avait aucun doute qu'il était prêt près de la fenêtre pour entendre nimporte qu'elle sollicitation ou ordre de nlous).

 

Puis s'adressant a moi :

 

-"tu souhaites me voir porter une tenue particulière ?".

 

Je réfléchis un instant :

-"non, simplement n'y vas pas complètement nue, je pense que c'est mieux en la circonstance, pour le restes tu as cartes blanches."

 

Laurence est donc montée se préparer, pendant qu'Alain descendait, en short, tennis minables, et chaussettes hautes de ringard. Il était devenu brillant en statut d'humilié, voire même compétent :il y avait de moins en moins de choses à lui dire ou signifier, il saisit de plus en plus à merveilles ce qu'on attendait de lui. Ce n'est pas un effort pour lui, il est même heureux de pouvoir montrer sa soumission. Il est resté dehors debout sans rien dire en attendant que Laurence ne redescende pour partir.

 

Elle est redescendue. Léger rouges a lèvres, tees-shirt moulant et trop court , un de ses shortys ! chaussures souples sans talons. Une vraie petite étudiante allumeuse et vicieuse. Elle m'a regardé, m'a annoncé :

 

-"je mouille déjà", puis direction  le portail ,  "allez suis moi cocu chéri". Mais Alain avait déjà emboité son pas.

 

Passés le portail, elle a pris la main de son cocu. Cela donnait autant l'impression qu'elle emmenait son petit frère au spectacle qu'un couple d'amoureux. Son cul avec ce shorty était somptueux. Le Claude n'allait pas résister 30 secondes.

 

Vingt minutes se sont passées. J'ai même cru entendre des cris de plaisir à un moment depuis le palier où je m'étais installé, mais je me disais que c'était mon imagination !

 

Ou ptutôt, Alain est revenu après vingt minutes, ne m'a rien dit et passé devant moi et a filé dans sa chambre! J'ai supposé qu'il allait se branler, mais je n'en n'étais pas sûr.

 

Laurence est réapparue au portail un quart d'heure après lui. Nue sinon les chaussures, shorty et tee-shirt à la main, décoifée,  et encore excitée. je me suis rendu vite compte qu'ell était encore dans un état second. Elle se dirigeait vers moi quand tout a coup elle a bifurqué vers la pelouse.

 

-"viens m'achever, salaud ... Il me faut un deuxième pompier comme toi pour cet incendie là " a -t-elle dit.

 

 Elle s'est mise a quatres pattes, en levrettes, cul au ciel, visage et épaules contre le sol, de coté.

 

-"dégomme-moi comme tu sais le faire, STP salaud chéri ...     ... vite ... ...  achève-moi ..."

 

je me suis posé debout dèrrière. Cette salope savait que j'étais excité. jJ'ai empoigné le shorty et l'ai non pas déchiré ,(j'en ai déja détruit un le jour de leur arrivée au gîte...) , mais étendu en l'écartant fermement d'un main.

 

Sa chatte était encore inondée. (de mouille, pas de sperme). Je l'ai enfoncée sans difficulté, et ai commencé un va-et-vient.

 

Elle a commencé à me raconter pour m'exciter encore plus.

"... il nous a offert un café. j'était déja vautré sur la chaise, le cocu était assis bien droit comme un écolier. j'ai enlevé mes chaussures dans un premeir temps. Mais comme j'avais envie de brûler les étapes, j'ai enlevé mon tee-shirt -ca faisait a peine 3 minutes qu'on était chez lui, en disant : "pffouuhh , allez aujourd'hui,  nudisme ! tiens Alain STP tiens mon tee-shirt .."

 

et de continuer son histoire, pendant que je la tirais :

 

"... puis je me suis levée, café  à a la main,  et ai approché Claude en lui tendant mon cul et en disant : "Mon mari tiens déja mon tee-shirt, pouvez-vous m'aider a enlever ma culotte?" Il n'a même pas été surpris. Il a empoiné lé haut de mon shorty et la fait glissé ver les bas.  j'ai fait: "oh merci Claude, en général quand on demande cela les gens son gênés ... mais vous vous avez compris que le nudisme c'est le nudisme .." je mes suis retournée et lui ai roulé une pelle. il s'est laissé faire, je lui ai guidé le bras sur la poitrine. puis tout est allé très vite. j'ai fait péter le dernier verrou en lui disant à voix basse "faites plaisir à mon mari"...

 

Elle reprend son soufle alors que je lui tire aussi ses seins. elle est dans un état second de chienne en chaleur, a un niveau que je ne lui ai jamais vu :

 

" ... ouahhh   arrache mes seins ... .... II s'est levé en me portant carrément, il m'a emmenée au salon à coté en disant "oui, je suis OK pour votre jeu, il m'a quasiment lancée sur le canapé". j'ai fait "ohhh un homme, un vrai". j'ai ordonné au cocu de nous suivre. Bref il m'a baisée devan le cocu sur le bord du canapé. Il m'a limé pendant un quart d'heure en m'insultant car je l'y encourageait. comme il n'avait pas de préservatif je lui ai dit de jouir sur moi où il voulait. il s'est retiré,  a remplacé sa queue par sa main en se branlant. Nous avons hurlé tous les deux, son sperme a jailli sur mes seins. Il s'est vautré sur moi. J'ai dit au cocu qui triquait et avait baissé son short de rentrer vite à la maison  dasn sa chambre !

 

...Puis je l'ai encore sucé en lui expliquant que notre gîte était le sien. Pas d'horaires de fermeture. Je lui ai tout raconté. Le cocu chambre à part, toi, etc... bref ... il m'a sucé le cul. sa femme et lui sont complices, il sait que claire vient ici c'est après-midi. Mon salaud tu vas la baiser hein ? ... allez, va-y ... par contre je ne sais pas du tout si sa femme est prête a le voir me sauter ... .. je .. je  ... je "

 

Puis elle s'est arrêtée de parler. Pour cause d'orgasme fulgurant imminent.

 

Un nouveau tsunami. j'aime bien ce mot, il s'applique bien aux déchaînements les plus aboutis de Laurence. Elle a commencé à trembler sous moi.

 

... passe ...  mon cul ... au karccher  STP .... au marteau piqueur aussi ......  .... aaahhhhhhhhh  .... chéri ... je ....  vais encore m'évanouir .....

 

la révulsion des yeux, apogée de ses  orgasmes, aboutissement de tout ce debut de matinée. secousse de tout son corps. j'ai giflé son cul en venant en elle et la traitant de catin du matin, de poufiasse de luxe.

 

Puis elle s'est affaissée. Avec moi. Je me suis dégagé lentement en lui disant que ce n'était pas fini. Alain était a la fençtre de sa chambre et nous avait bien sû matés. Le propriétaire allait peut-être survenir a nimporte quel instant.

 

- "s'il arrive, tu penses pouvoir assurer dans l'état où tu es, salope chérie ? "

 

- " ... dix minutes pour me requinquer ... pas plus" murmura-t-elle

 

- "alors va t'allonger jusqu'a ce qu'il arrive, je dirais à Alain de l'accueillir s'il vient et de l'occuper quelques minutes si nécessaire. Ce sera aussi l'occasion de s'auto humilier volontairement devant le proprio s'il en a envie"

 

-"accompagne-moi dans la chambre chéri .."

 

Je suis monté avec elle, en re-précisant à Alain  depuis le haut de l'escalier qu'il guette l'arrivée éventuelle du proprio et qu'il le fasse patienter en lui disant par exemple que sa femme était impatiente de pouvoir continuer le discussion d'hier...

 

-" ... Chéri cornu, je compte sur toi pour lui dire beaucoup de bien de moi !" a ajouté Laurence.

 

et nous sommes entrés dans la chambre en éclatant de rire tous les deux.

(à suivre)

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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