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uro a trois, cocufication

Lundi 10 décembre 1 10 /12 /Déc 12:45

Après un an, me revoici. Les circonstances ont fait que je ne pouvais plus mettre à jour régulièrement ce blog, j'en avais donc abandonné l'idée. Mais ces mêmes circonstances évoluant, il se trouve que devant l'intensité et la quantité des choses à raconter, et du fait que j'ai décidé de reprendre un peu de temps à moi par rapport à toutes ces histoires sexuelles et de débauche, je vais à nouveau essayer de faire l'effort de continuer à poser ceci noir sur blanc dans ce blog ...

 

Au sujet de ce blog, plusieurs dizaines de personnes ou couples m'ont sollicité par mon adresse mail associée. Certains étaient fantasques, mais 3 ont abouti à rencontre pour 'collaboration'  aujourd'hui terminée pour 2 d'entre eux (couples), mais le troisème, un homme-bi black, est devenu un amant supplémentaire pour Laurence... Et un des deux enculeurs réguliers que connait aujourd'hui Alain.

 

Je ne sais pas encore sous quelle forme je vais essayer de poursuivre le blog. En respectant la chronologie, comme jusqu'à maintenant? Mais bien que je dispose d'un journal et de cahiers perso d'Alain, et d'une mémoire adaptée à l'intensité  des situations vécues, sera-ce suffisant pour être aussi détaillé qu'au début? ou bien alors en prenant des épisodes forts mais 'discontinus' de ces deux dernières années, sans pour autant respecter cette chronologie ? J'aviserai et rectifierai éventuellement l'approche au fur et à mesure.

 

En attendant, sachez qu'aujourd'hui qu'en ce qui concerne Laurence et Alain, ils sont toujours "ensembles", tout à la fois autonomes et à ma disposition.  Laurence n'a plus vraiment de limites, et en outre des 3 ou 4 amants réguliers (dont je fais partie avec le statut privilégié de coacheur dirons-nous) qu'elle épuise(!), les rencontres sous ma gouverne ou non avec d'autres hommes plus occasionnels, ne sont pas loin d'être son pain quotidien, en tout cas son emploi du temps est désormais consacré à son travail d'une part et ensuite à baiser et à cocufier son mari d'autre part.

 

 Même les interactions avec leurs autres 'amis conventionnels' se font de plus en plus rares, notamment ceux qu'ils avaient avant notre rencontre il y a maintenant quasiment 3 ans. Même elle a, après suggestion de son propre cocu Alain, cocufié celui-ci avec un  des plus anciens amis dudit Alain, réputé chaud au départ il est vrai. Cette histoire a rendu Alain un peu rancunier (l'ami ne sait pas qu'Alain sait bien sûr) vis a vis de son ancien ami, mais l'a par contre rendu plus fier plus abouti en tant que cocu.

 

Laurence est donc salope en vitesse de croisière désormais, elle est toujours plus vicieuse et chaude, exhibitionniste aussi. Sous mon 'coaching', elle s'est tapé et se tape des gars dans le maximum de situations dites 'quotidiennes' (parking, chauffagiste, pizzaiolo, cinéma, restaurant indien, ...)  Et son cocu est finalement devenu pédé, avaleur de sperme. Il est épanoui, bientôt un an qu'il n'a pas fait l'amour avec sa femme, mais paradoxalement sa sexualité est très vivante puisqu'il se masturbe en permanence, suce des queues assez souvent et se fait sodomiser (devant sa pute ou non) à l'occasion par 2 réguliers, et aussi en certaines soirées, il sert de chienne. Nous pratiquons toujours l'uro et le cocu sert d'urinoir plus souvent qu'a son tour. Il s'est acheté une gamelle neuve pour chien, pour y manger à quatre pattes des cornflakes de temps en temps. Il est d'une certaine manière devenu comme sa femme, et quand il entre dans un état second, il devient 'chienne en chaleur, pétasse, etc ...' (selon son propre vocabulaire), et a envie de queues. Pour lui la récompense suprême de son statut de cocu est par exemple d'être pris en levrette par un homme (un 'vrai' comme il dit) à coté de sa femme se faissant prendre elle aussi par d'autre(s), puis de le ou les sucer après qu'ils aient sailli son épouse adorée. J'ai été jusqu'à les emmener au bois de boulogne un samedi nuit. J'ai organisé en moins d'une heure qu'il suce une transexuelle (à 30 euros) pendant que Laurence se faisait prendre (gratuitement et avec capote bien sûr) contre un arbre par un badaud. A cette occasion je me suis rendu compte à quel point ils étaient sans limites tous les deux et en redemandent.

 

D'autre personnes notamment 2 couples gravitent autour de nous. Quant à Claude et Claire du massif central, il y a eu suite et d'autres interactions avec eux malgré la distance et le contact est maintenu.

 

A très bientôt, je m'en efforce.

 

 

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 16:20

Nous nous sommes essuyés rapidement. Claude alla à la cuisine pour préparer le déjeuner, je le suivis et nous laissâmes Claire tranquille afin qu'elle se prépare pour sa demi-journée de travail.

 

Nous nous installâmes tout les deux à la table après avoir mis la cafetière en route. En attendant Claire, j'informai juste Claude que j'avais autorisé Alain à rejoindre sa femme pendant que je venais là, car ils en avaient besoin tous les deux. Puis je l'informai que j'avais l'intention de confier une mission à Alain qui le concernait lui, Claude, et qu'il y avait besoin de son consentement, en effet, je lui annonçai :

 

-" Tu as pu le constater Claude, Alain jouit d'être cocu mais aussi de plus en plus d'être soumis, humilié. Il fait même du zèle. Voilà, je souhaite lui demander de te sucer dans les heures qui viennent si possible. Je vais lui présenter la chose en insistant sur le fait que tu risquais de mal réagir bien sûr s'il entreprenait une telle chose, mais qu'il n'avit pas le choix. Je lui dirai fermement et sèchement de se débrouiller pour te sucer, devant Laurence et moi ou pas, comme il le souhaite... Qu'il se rabaisse devant toi, il sera excité et honoré que je lui demande cela, mais il va devoir cogiter pour que cela se passe au mieux...

Evidemment pour que cela soit possible, il  faut ton acquièscement, je conçois que n'importe quel homme n'ait pas envie d'être sucé par un autre..."

  

Claude considéra la situation et la proposition. Bien qu'aucun homme ne l'ait jamais sucé, il convenait que la situation de ces jours-ci était différente. Le feu de l'action. Etre sucé par le mari dont il avait tronché la femme devant ledit mari... Puis après quelques minutes de discussions à voix haute entre nous:

 

-"Je crois que je vais accepter. De toute façon, je verrai bien comme je réagirai une fois qu'il .. commencera... Mais je voudrais en fait qu'il soit obligé de le faire devant Claire, cela lui fera une surprise à elle aussi et je crois que cela l'excitera aussi. Pour le reste toi et laurence pouvez ou non être présent, je te laisse imaginer le scénario complet Carmure ..."

 

Claire nous rejoint à ce moment et nous changeâmes donc de sujet. Elle était habillée tout ce qu'il y a de plus normal pour aller à son travail. Je lui fis signe d'approcher,  et lui passer la main sous sa robe pour aller constater qu'elle portait une culotte. Je lui caressai le cul quelques secondes, elle se laissa faire.

-"Allez Claire bois ton café, Carmure va t'emmener au travail", lanca Claude qui était amusé par ma main pelotant le cul de sa femme.

 

-"Je passe au gîte pour m'habiller complètement. Claire, rejoint moi -z-y devant dès que tu as fini ton café, nous irons avec ma voiture", dis-je.

 

Puis je déguerpis en faisant un clin d'oeil à Claude.

  

Arrivé au gîte, je montai à la chambre, dans laquelle étaient toujours Laurence et Alain . Je poussai doucement la porte. Ils étaient enlacés face à face, sur le coté en train de faire l'amour, Laurence se laissait prendre en caressant la tête de son cocu de mari. Je lui fis signe de ne pas prêter attention à moi. Alain me devina et m'interrogea du regard, prêt à décamper si je le lui demandai ou en montrait la moindre vélléité. Je m'habillai. Puis je décidai à cet instant là d'annoncer la décision à Alain :

 

-" J'emmène Claire à Aubusson, continuez à profiter tous les deux. Alain, je veux que tu suces Claude avant 24 heures...  En présence obligatoirement de sa femme. Et de nous deux éventuellement. Voilà ... tu te débrouilles.... je sais que cela va t'exciter pauvre cocu. Bien sûr, ce n'est pas une mince affaire pour toi de savoir s'il ne va pas t'envoyer une torgnole mais cela fait aussi partie du scénario excitant. même en cas d'échec, tu seras content que l'on se moque de toi."

Bien sûr je ne lui ai pas dit pas que Claude était au courant.

 

Puis je m'approchai d'eux pour chercher la bouche de Laurence (elle aussi surprise de ma déclaration) avec la mienne et l'embrassai goulûment.

-"Ne t'inquiètes pas chérie, je m'occuperai de toi sérieusement aujourd'hui. Simplement n'oublie pas de me préparer de la pisse, je t'en prépare de mon coté".

Je descendis et passai à la cuisine prendre une bouteille d'eau. Claire arrivait au niveau du portail, j'allai lui ouvrir la porte de la voiture. Nous partîmes à Aubusson, et afin que son esprit se "branche" sur sa demi journée de travail et se libère des émotions des dernières heures passées, le voyage se fit dans le calme et la sérénité je lui posai à peine la main sur la cuisse pendant le trajet. Elle se détendait tête contre l'appuie tête. A aubusson elle m'indiqua la route de son bureau. Elle bosse dans une administration.

 

-"Je viendrai te chercher. A quelle heure?", lui dis-je.

 

-"12h 30... ... Tu n'as pas d'autres consignes à me donner ? "

  

Elle me demandait si j'avais des consignes pour elle!!  Pris de cours, je m'efforcer en quelques secondes de réfléchir, pour ne lui trouver que la trivialité suivante à lui proposer :

  

-"... Tu auras enlevé ta culotte quand je reviendrai à 12h30... Et tu auras réfléchi s'il n'y a pas un endroit sur ton lieu de travail où je pourrais te prendre. Cela sera excitant, non? "

-"Et bien voilà ... ... ... J'y réfléchirai et je trouverai ... A tout à l'heure chéri".

  

Elle venait de m'appeler chéri... Pour la première fois. Je décampai avec ma voiture pour revenir à St Bard dans le gite. 

 

Quand je revint, environ une heure après être parti, je remontai à la chambre. Alain et Laurence était côte  à côte sur le dos mains dans la main, se détendant.

Alain fut immédiatement attentif au moindre de mes gestes ou à la moindre de mes paroles. En fait je m'approchai de son coté, tout en défaisant ma braguette et arrivai à son niveau pour lui présenter ma queue. Il s'approcha du bord du lit et la prit.

  

-"ca t'excites je que je t'ai proposé tout à l'heure, n'est-ce pas, cocu?  allez entraîne toi deux minutes le temps de me faire bander pour ta petite femme,  et décampe..."

Alain me suça avec attention pour me faire bander. Laurence nous regardait en s'approchant je tendis ma main pour lui inviter à me doner la sienne. Elle me fixait des yeux.

  

-"Fous le camp maintenant, cocu. Laisse moi avec ta femme, elle a envie, et elle va me raconter un peu où vous en êtes tous les deux... Tu n'as qu'à allez faire tes lignes tiens...". 

 

Le cocu lâcha ma queue toute dure, se leva et sortit discrètement mais rapidement. Laurence vint le remplacer au bout de ma queue et l'engoufra le plus profond qu'elle put c'est à dire jusqu'aux couilles.

  

- "l'attitude de ton cocu m'excite vraiement, chérie. Il me donne envie de te baiser. Mais auparavant tu vas me pisser dessus, je vois que tu a pensé à moi...suis moi". Dis-je en voyant sur la table de chevet un bouteille d'eau quasi-vide.

  

Je sortis ma queue de sa bouche pour me lever et sortir de la chambre, suivi par cette pute. J'hésitai entre la salle de bains avec une scéance uro classique ou un autre scénario que j'essayais d'improviser.

Depuis le haut de l'escalier, nous aperçumes le cocu qui s'installait à la table pour écrire ses lignes probabalement. C'est à ce moment que je décidai comment allait se passer la suite, et je criai depuis le haut de l'escalier au cocu:

-"C'est cela ...commence à écrire tes lignes, mais dans cinq minutes interromps toi pour nous rejoindre dans la salle de bains."

  

    

Je n'en dis pas plus et continuai avec Laurence. Je décidai de ne pas aller à la salle de bains, mais dans la chambre du cocu, ce serait plus excitant, après être simplement passé chercher une serviette.

Je m'allongeai parterre sur le dos, accrochant d'une main le mollet de Laurence qui comprit où je voulais en venir et m'enjamba de l'autre jambe 'mencadrant le visage de ses deux pieds, mais restant debout.

-"Viens .. arrose- moi,  déverse-toi ... partout, ... vas-y", lui-dis-je.

  

Je la vis se caresser la chatte au dessus de moi et se préparer à pisser. Je fermai alors les yeux, seul endroit de mon corps interdit à la pisse ...  J'ouvris la bouche, je m'astiquai fermement ma queue raide avec mon autre main.

-"Tiens chéri, je vais t'asperger, .... houuuu quel bonheur", gémit-elle, a l'instant où elle allait uriner.

  

Les premières gouttes de pisse arrivèrent sou mon cou, puis le jet fut rapidement rectifié par Laurence sur ma bouche et mon visage. Elle poussait pour faire un jet le plu drû possible. Comme elle se branlait en même temps, la pisse abondait un peu partout dans un jet saccadé.

 

Elle resta quelques instants dans cette position m'enjambant et me pissant dessus, puis tout en continuant à déverser, elle commença à plier ses jambes pour s'accroupir, sa chatte s'approchant de ma gueule ouverte. Son train s'arretâ de descendre au moment où il entra au contact avec mon visage, me pissant cette-fois parfaitement dans la bouche. Sa main s'activait sur son clito, et je l'entendais gémir.

 

  

C'est alors que le cocu nous a rejoint, obéissant aux ordres qui venaient de lui être donnés. J'ai deviné sa présence à l'entrée de la chambre, il attendait les consignes.

Puis, alors que Laurence ne pissait plus que par intermittence, j'entrepris de me relever. Je m'essuyai succintement avec la serviette au sol. Je présentai ma queue raide à la bouche de Laurence qui était toujours en position accroupie.

Elle l'engloutit avec passion, continuant a se branler. Je regardais le cocu près de l'entrée. Il reagardai la scène, un peu étourdi et Il bandait, il était vraiement très excité sa queue tressautait. Mais il ne se masturbait pas.

 

-"Viens t'accroupir à coté de ta pute dans la même position qu'elle...", lui assénai-je sèchement. Il s'exécuta rapidement et ouvrit la bouche.

  

Je passai alors d'une bouche à l'autre, et de mes mains je rapprochai leur visage jusqu'à ce qu'ils soit en contact.

 

-"Vous êtes tous les deux des putes... Mes putes... mais aussi celle des autres hommes. Vous êtes un couple génial et parfait. La salope ... et la lope. "

  

Tous les deux attendaient leur tour avidement à chaque alternance, et alors que ma queue passait d'une bouche à l'autre, je laissai aller mon envie de pisser, et bien que je bande, le jet finit par sortir dans leur bouche (je ne sais plus par qui cela a commencé) ne me faisant  que débander que partiellement. Ils étaient excité à mort tous les deux et je constatai que dans leur position accroupie ils se branlaient à un rythme effréné en choeur quasiment. Je reculai alors d'une cinquantaine de centimètres pour les asperger. Ils avaient tous deux la bouche grande ouverte. Ils étaient soumis.

  

-"vous êtes un couple parfait, qui est fait pour être ensemble. je suis votre maître à tous deux, vous aimez que je vous oriente, vous épanouisse, que je gère vos débauches sexuelles".

Je finis de pisser sur eux. Ils fixaient ma queue, je m'adressai à Alain:

  

-"Je vais prendre une fois de plus ton épouse .... en levrette. Elle en a follement envie et moi aussi. tu t'allongeras sous elle pour nous lécher nous sucer et  nettoyer nos sexes pendant que je la lime".

   

J'invitai Laurence à  se mettra à quatre pattes. Je me positionnai derrière, attendant qu'Alain s'installe aussi dos au sol entre les cuisses de sa femme. 

Je la tins fermement par les hanches, avant de la pénétrer doucement . Le cocu leva la tête ce qu'il faut pour atteindre l'endroit de jonction entre la chatte de sa femme et ma queue. Il lappa nos deux sexes au rythmes de mes allées et venues dans la pétasse. De temps en temps je sortais ma queue de la chatte de Laurence pour l'enfiler quelques secondes dans la bouche du cocu puis, revenir dans le fourreau  de la trainée.

  

J'étais très excité et Laurence aussi commencait à exhulter. Elle entra rapidement dans sons état second, caractérisé par des onomatopées et quelques gros mots.

Elle hurla aussi à son cocu:

 

- "Tas de la chance, lopette, de voir mon cul d'aussi près quand je me fais trombiner par un vrai homme." Puis, à moi:

  

-"S'il te plait ...  dans l'anus, chéri....  c'est ... c'est urgent ... urgent ...!"

  

Je transférai ma bite depuis sa chatte vers son anus, et alors elle afaissa complètement son train et sa chatte sur le visage de son mari,  allant et venant latéralement sur sa gueule. elle couinait de plaisir.

De mon coté, tout en la tenant par le cul, j'ajoutai un peu de mon poids en continuant de la sodomiser. La gueule du cocu avait à moitié disparu dans la chatte de sa femme.

  

Voyant que j'allais décharger, Laurcence se mit à secouer dans tous les sens et eut un (nouveau) orgasme fulgurant. J'avais presque un peu peur pour Alain, mais il semblait que son nez ait tout de même la capacité à venir prendre un peu d'air pour respirer.  Je déchargeai donc peu après elle, dans son cul. Elle tremblait encore.

Nous nous sommes ensuite afaissés, le cocu se dégageant, et, alors qu'il filait discrètement hors de la chambre, je lui dis:

  

-"Tu nettoieras tout ce cela, soubrette. Je vais allez prendre une douche avec ton épouse."

  

Sous la douche, Laurence revint sur ces moments intimes (exceptionnels) passés avec Alain le matin, et me confia que Alain et elle avaient décidés de me laisser un double de la clé de leur maison à Trappes. Qu'il était temps que ce soit ainsi, confirmant que leur lit était le mien, que Laurence était ma pute et Alain le cocu, heureux, zélé et serviteur.  

  

 Elle confia aussi que ces quelques jours étaient durs pour Alain, mais qu'il fallait qu'il passe par là et qu'il connaissait en même temps des excitations extrêmes a voir Laurence le tromper d'une part, et à de plus en plus être pris pour une soubrette d'autre part.  Qu'il savait que sa vie future allait lui amener beaucoup de queues a sucer et qu'il attendait cela avec excitation, ainsi que les humiliations qui allaient avec. Qu'il commencerait comme ordonné par moi-même à essayer de sucer Claude. Qu'elle aussi était excitée à tromper son mari; à se faire baiser n'importe où et par nimporte qui. Bref, elle était nettement prête pour plus et plus encore. 

    

-"Aujourd'hui tu dois appeler Olivier. Ce qu'on pourrait faire, c'est de dire à ton mari de lui téléphoner, pour qu'il lui dise quelques mots 'encourageants', puis de te le passer au téléphone.".  Je suis certain que cela va faire bander ton cocu rien que de lui évoquer cela, et que toi aussi ca va t'exciter ?"

   

-"Comme tu veux, chéri. Je veux bien même faire passer mon mari pour un minable auprès d'Olivier dès qu'il me passera le combiné. Je crois que finalement cela va exciter tout le monde ..."

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Lundi 6 novembre 1 06 /11 /Nov 17:29

Je fut en fait nerveux cette nuit là, mon esprit fertile en pensées sur l'avenir de l'aventure avec Claire et Claude notamment, et plus précisément sur le rencontre que je leur avais programmée dès l'aube dans leur lit.

 

J'étais tout excité et, fort de la tournure des évènements des dernières heures et des remarques de Claire me donnant finalement carte blanche sur eux - bien qu'elle fût relativement passive elle et (encore) dépourvue d'initiative- j'en déduis grosso modo cette nuit-là que je pouvais passer la vitesse supérieure. Ils attendaient cela et l'espéraient, cela avait été explicite, mais ils étaient encore probablement eux-mêmes trop novices en la matière. Notre séjour dans le gîte ne se terminant que dans à peine plus de 2 jours désormais, c'était une raison de plus pour les emmener rapidement maintenant sexuellement là où ils voulaient et les dépraver réellement sans retenue.

 

Quand je me réveillai, assez tôt,  Laurence était aussi éveillée. J'étais sur le dos, elle se blottit contre moi, commenca à empoigner ma queue et la masturber, et me regarda langoureusement. Ce à quoi je répondis :

 

-" Tu sais bien que j'ai prévu d'aller chez Claire et Claude, chérie. Et je ne vais pas tarder, je crois qu'elle doit aller travailler a Aubusson. J'ai pensé quasi tout la nuit à la manière dont j'allais les "gater" et les diriger vers la fornication, et l'uro aussi; car je trouve qu'il est temps de se lâcher complètement."

Puis je rajoutai, revenant à son cas a elle et celui de son cocu, prenant bien soin d'être direct et de donner un effet de surprise :

 

-"Devant la dévotion de ton mari à être cocufié, et attentif à ses réactions et ses attitudes, j'ai déduit - en tout cas je me suis autorisé à le faire ! - qu'il prendrait comme une "promotion" d'être un jour sodomisé. Hier soir alors qu'il me suçait pendant que j'écrivais mon journal, je lui ai donc annoncé que je penserais à son cas dès la fin de l'été sur Paris, car d'anciennes connaissances de couples bisexuels seraient probablement intéressées à l'idée qu'on leur prépare une soirée avec une salope, son cocu-soumis et possibilité de dépucelage dudit cocu en présence d'une assistance publique par exemple . Je t'en informe. Je crois que ton mari pour sa part a apprécié et va pouvoir "grandir" à cette idée. Quant a toi je sais que cela va te plaire. Je me trompe ? "

 

Elle ne répondit pas  immédiatement mais me branla plus conscienscieusement tout en cherchant ce qu'elle allait me répondre. Elle finit par dire comme à elle-même, avec une certaine émotion dans la voix :

-"Je ne vois pas comment il peut en être autrement si c'est ce que tu désires... Ce que tu veux faire de nous c'est toi qui l'écris, depuis le début, tu le sais bien, et tu sais que nous accepterons tout pour le moins, et nous serons très impatients et demandeurs pour le mieux. Ne l'avons toujours pas été, mon cocu et moi ? "

 

Elle avait presque peur que je réponde non, et que j'aie des reproches à leur égard. Elle continua:

  

-" ... j' y ai déja réfléchi plusieurs fois et je n'ai rien trouvé que tu puisses me demander, ou demander à Alain,  que l'on refuserait et aurait même l'envie de refuser ... je n'arrête pas de déduire que notre couple, Alain , et moi-même nous .. t'appartenons. ... Tu le sais. Tu peux en jouer comme tu désires, et c'est ce que je désire aussi : que tu joues et baises avec moi, avec nous, que tu organises des cocufications, ma ... ma salopisation ..."

 

Je l'interrompis:

-"Nous reprendrons cette discussion plus tard ma chérie. Mais ne crains rien, notre relation j'y tiens et votre couple reste central. C'est pour cela que pendant que je serai a côté, tu va passer une partie de la matinée avec ton mari. C'est nécessaire après ces jours intenses surtout pour lui. Faites le point, faites l'amour, confiez-vous l'un à l'autre, échangez."

 

Et je me levai pour enfiler calecon, T-shirt, et  espadrilles. et je n'oubliai pas d'ajouter, me souvenant de la remarque de Laurence, la veille, lorque j'annoncai à nos voisins que je viendrais les rejoindre à l'aube:

 

- "... Je te prierai simplement de ne pas être jalouse des autres femmes. Car je vais être clair: Malgré la distance géographique entre la région parisienne et ici, j'ai décidé cette nuit que je proposerais dès ce matin à Claire et Claude que Claire ne devienne plus ou moins ma maîtresse ou ma soumise, sous une forme encore à définir, y compris son rôle à lui ... Allez je te laisse, je t'envoie le cocu... Passez un bon moment ... n'oublie pas aussi que tu devras appeler Olivier  aujourd'hui ce serait bien."

 

Je descendis et croisai le cocu en bas qui s'était levé très tôt pour tout ranger de la veille. je le rappelai juste à ses obligations du jour:

-"N'oublie pas tes 50 lignes; tu peux utiliser mon journal perso en commençant par la fin si tu n'a pas de cahier. Mais tu devras reporter tout plus tard sur un cahier personnel. Si jamais le propriétaire décidait de passer, ce qui ne serait pas très étonnant, il est clair que ce serait pour voir ta pute; donc fais le nécessaire pour le mettre à l'aise et le laisser tranquille avec ta femme."

Il me répondit juste

-"oui ... merci...  je vais voir Laurence ... oui  je ferai toutes les lignes ...".

 

Sur le chemin, la perspective qui m'attendait me fit rapidement être très excité. J'avais plusieurs idées en tête, mais je sentais que l'improvisation allait jouer un grand rôle.

 

Claire et Claude avaient pris soin de ne pas locker la porte. Après avoir ouvert celle-ci, je vis par terre un papier avec un mot : "il est 5 heures ...nous somme éveillés, nous vous attendons". Cette attention plus qu'encourageenate était très délicate, car elle me permettait de me faire une idée sur leur état et leur envie: sachant qu'il était environ 7 heures, et que ce mot datait de deux heures, je me permis d'imaginer que s'ils étaient éveillés depuis lors, les conditions d'excitation étaient idéales. J'avançai dans la maison pour parvenir près de la chambre. La porte était entr'ouverte et je regardai discrètement. Ils étaient allongés tous les deux, sous la couverture, éveillés. De coté tous les deux, Claire était dos à son mari Claude, les yeux ouverts et pensive. Lui l'embrassait dans le dos blotti contre elle.

 

Je me déshabillai avant d'ouvrir la porte. J'avais une grosse érection.  Je poussai la porte ni brusquement, ni lentement, comme si j'entrais le plus naturellement du monde. Il ne sursautèrent pas, me régardèrent tout les deux. Claude se décolla de Claire en gardant la main sur son épaule. Puis faisant glisser celle-ci fit le long du bras de Claire, dégagea la couverture délicatement pour faire apparaître la moitié supérieure du corps de son épouse. Claire me regardait sans expression particulière, très posément. Avaient-ils anticipé le scénario ou était-ce improvisé?

 

A cet instant je décidai de ne rien dire. Je m'avancai à coté du lit près de Claire. Je savourais l'instant tout en réfléchissant et essayant d'adapter ce que j'allais faire à la situation.  C'est finalement mon index que je proposai à sa bouche. Elle le goba en le suçant légèrement, lentement, après quelques instants je retirai l'index pour y présenter le majeur, puis ainsi de suite tous les doigts les uns après les autres. Je la fixais du regard, elle me regardait,  perosnne n'avait encore prononcé mot. Claude  avait entrepris de la malaxer légèrement dans une zone qui allait des hanche au seins. Puis au bout de deux longues et délicieuses minutes, alors que je passais toujours en revue mes doigts dans sa bouche, Claire ferma les yeux délicatement en se concentrant énormément sur mon doigt, montrant ainsi son envie. J'étais en érection et je réfléchissait aux premiers mots que j'allais prononcer.

 

-"Suce-moi Claire. Tu en as envie". Je m'appuyai contre le lit et lui présentai ma queue; elle lâcha mes doigts, avanca son visage et enroula ma queue avec sa bouche, tout en fermant les yeux. un léger gémissement me fit comprendre son envie.

 

Claude  la tenait par les hanches. Son sexe était contre les fesses de sa femme qui restait inerte hormis sa bouche sur ma queue. Je me penchai pour à la fois attraper son sein d'une main, sa fesse de l'autre. Je malaxai le premier et écartai la deuxième. Je dis a Claude, quasiment sous forme d'ordre, et le tutoyant lui aussi:

-'prends- la."

 

Il me regarda quelques instants et se mit en position. Claire avait répondu à sa manière à l'injonction que j'avais donné à son mari en levant sa jambe, soulevant ainsi la couverture et permettant l'accès de son cul à son mari.

 

-"ta femme est très bandante, Claude. De plus elle est excitante car elle à l'air sage".

 

Claude changea de position pour mieux prendre sa femme de coté pendant que cell-ci engloutissait ma queue de plus en plus profond dans sa bouche.  Il semblait la désirer puissamment. Il empoigna sa queue, l'approcha de la moule de sa femme, puis tout en ré-'empoignant cette fois-ci par les deux hanches l'enfila puissamment. Sans encombre. Claire était prête. une odeur de fornication -ils avaient à coup sûr baisé dans la nuit- amplifiait l'excitation.

 

Claude se mit littéralement à monter sauvagement sa femme de coté, le besognant et s'acrrocahnt violemment à ses hanches. Il était littérallement accroché et pendu à son cul. Ce qui contrastait avec les mouvement lents mais amples et sûrs de ma queue dans la bouche de Claire. Mes deux mains désormais malaxaient ses seins, j'étais genoux semi-pliés avec la queue explorant la bouche de Claire. Celle-ci n'avait rien de l'exubération de Laurence, gémissant à peine pour l'instant, mais acceptant et désirant nos deux assauts.

 

Je m'adressai à Claude :

- "c'est excitant de découvrir que sa femme est une salope silencieuse, non ? " puis sans attendre de réponse :

 

- "désire-t-elle une double décharge dans la chatte ? ou une dans la bouche l'autre dans la chatte ? "

 

Claude répondit pour elle, vu que la bouche de Claire était pleine :

- "faites lui ce que vous voulez....  Ahhhrgh " il commencait à prendre sérieusement son pied, il y avait à peine 5 minutes qu'on avait commencé. 

Je décidai de rester dans la bouche de Claire en attendant que Claude jouisse, vu que cela était imminent. C'est alors que j'eus droit à une première surprise, Claire lacha ma queue quelques instants pour dire, me regardant fixement cette fois :

-"cela faisait longtemps que tu ne m'avais pas prise aussi vigoureusement trois fois dans la même nuit ..."  Puis Claude ne répondant pas à sa femme, finit de tirer son coup, puis me dit en se dégageant :

 

-"Venez la tirez si vous le désirez?"

 

Je répondis à ceci en m'adressant à Claire penchant la tête vers elle:

- Je m'occuperais bien de votre troisième entrée, de votre oeillet. Si vous n'y voyez pas  d'inconvénient...", la vouvoyant a nouveau.

 

Pour la première fois, elle m'adressa la parole, lachant ma queue :

-" Bien sur qu'il n'y a pas d'inconvénient. C'est un entrée qu'utilise quelquefois mon mari..."

 

Je montai alors sur le lit, me placai derrière elle et levai tout son arrière train des deux mains, la remettant en position de levrette. Je l'incitai avec les mains à ouvrir se fesses,  j'enfouis ma langue dans son anus pour la peindre de salive.

Claude proposa alors:

- "prenez la bien, je vais m'occuper de l'autre face".

 

C'est alors qu'il se fraya un chemin sous elle pour se positionnez en 69. Il vint lui bouffez la chatte. Claire me dit par dessus son épaule

- "s'il vous plait ... ne me faites pas trop attendre ..."

 

Devant cette triple invitation (son cul, son mari, et se dernières paroles) je compris que pour l'instant je laissais le scénario se dérouler en bonne partie selon leurs envies, mais j'y trouvais plus que mon compte. je me positionnai alors au dessus de son cul, tout en voyant le dessus du visage de Claude qui la bouffait. Je l'enculai très doucement y allant par va-et vient progressifs. Une bonne partie de mon poids était sur ses hanches.

c'est alors que verbalement du moins, je repris la main :

" Je crois que vous devez aller travailler ce matin. Je vais vous accompagner à Aubusson Claire, si votre mari le permet bien sûr..." J'irai vous recherchai ce midi. comme nous avons peu de temps, je vais vous remplir les fesses immédiatement"

 

Et je m'appliquai à me finir en elle. C'est vrai que la situation à 7 heures du matin avait quelque chose d'excitant. Je tirai mon coup finalement un peu de la même manière que son mari quelques minutes avant. celui-ci lui bouffait toujours sa chatte en dessous de mes couilles. Ils cachaient bien leur jeu ces deux là.

Je ne laissai pas de répit et les invitai à m'emmener a la salle de bain. Il y avait une douche.

-"Avez-vous envie d'uriner Claire ?" ton cordial mais ferme.

 

-"je crois que oui, nous avons bu de l'eau en prévision de vous hier soir en rentrant."

 

Alors sous la douche, elle dos contre la paroi, je lui fis écarter lesjambes.

-"Laissez-vous allez Claire, s'il vous plait ..."

 

Elle pencha la tête en avant pendant que je me glissai entre ses cuisses, attendant que le jet ne débute. Je lappai son pubis et son clito en attendant, puis le jet arriva accompagné d'un gémissement qui me fis plaisir. J'entendis Claude derrière, nous dire :

-"Je peut vous faire pipi dessus tout les deux, cela m'excite votre truc ... "

 

Personne ne répondistrien, ce qu'il considéra à juste titre pour un acquiescement. Le jet de Claire n'était pas très puissant par contre sa pisse était très forte, je ne pouvais que la prendre dans ma bouche mais en la recrachant sans l'avaler. Cela ne dura pas très longtemps, je me relevai au moment même ou Claude avait approcher sa queue au niveau de ma figure et de la chatte de sa femme et commenca a pisser lui aussi.

J'ordonnai alors à Claire:

-"Agenouillez-vous Claire, c'est pour votre bénédiction. " J'empoignai alors aussi ma queue et commencai à lui pisser sur le visage. Son mari faisait de même.

Je profitai de cet instant crucial pour m'adressai à Claude:

-"Dans deux jours, le cocu la salope et moi-même nous quittons les lieux.  Mais je ne souhaite pas que notre histoire à nous s'arrête là. Je tiens a donner une suite à notre rencontre, et votre femme peut devenir ma maîtresse au moins de principe, même si nous ne pourrons pas nous rencontrer facilement dans un premeir temps du moins. Il est évident que la salope du cocu sera de son coté d'accord pour la même chose avec vous. Réfléchissez à ceci... ...Je sais, la géographie est contre nous, mais avec de l'imagination tout est possible, et encore plus excitant".

 

Le visage de Claire avait été arrosé de pisse pendant ce temps! elle avait tout de même ouvert la bouche, mais n'avait rien avalé. Cette scène d'uro avait finalement été soft, sans plus mais appéciée.

J'entrepris alors d'allumer la pomme de douche, d'attendre que l'eau soit chaude et de nous rincer tout les trois. Bizaremment il n'y eu pas de mots d'échangés si ce n'est que je proposai que l'on prenne un bon déjeuner avant que j'emmène Claire à Aubusson.

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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